Les mémoires

Ces mémoires qui limitent nos capacités

« Le corps nous exprime tout ce que nous avons besoin de savoir »

Cette notion de mémoires est venue à moi sans que je fasse une quelconque recherche ni que j’aie suivi une formation traitant de ce sujet. J’ai découvert ce potentiel très simplement, à l’occasion de séances de magnétisme ou de reboutement. Ma sensibilité médiumnique me permet de ressentir des situations, sensations ou douleurs vécues antérieurement par la personne sur laquelle je pratique un soin énergétique, alors même que je n’en ai pas connaissance.
Grace à cette perception, je peux faire part des diverses informations que je perçois à mon (ma) consultant(e) qui pourra ainsi en apprécier voire en interpréter le contenu avec mon accompagnement afin d’établir un lien avec la problématique vécue.

Par ce côté un peu magique de ma pratique, bien souvent une douleur, une gêne, une difficulté ancienne ou récurrente disparait. Après quelques temps, rapidement parfois, le bien être, la vitalité, voire la santé prendront à nouveau place.

Quelques notions pour comprendre…

La mémoire est une faculté qui permet de conserver et de restituer des choses passées. Elle n’est pas l’apanage de notre seul cerveau car il existe aussi des mémoires corporelles. Qu’elles soient cellulaires ou émotionnelles, elles sont la représentation d’un vécu parfois traumatisant.
La mémoire émotionnelle peut être définie comme étant celle qui se rappelle des sentiments et  émotions ressentis lors d’évènements qui ont particulièrement touchés.
La mémoire cellulaire quant à elle correspond aux informations enregistrées dans les cellules, liées aux chocs, aux traumatismes physiques, etc. Les deux peuvent être associées ou non.

Ces empreintes émotionnelles et cellulaires commencent à se créer dès la vie intra-utérine et s’additionnent peu à peu tout au long de l’existence. Les années passant, ces informations s’incrustent et se dissimulent  au plus profond de nous même, sans que nous en ayons  véritablement conscience.
Ces troubles sensibles  pourront être amenés à se ré-exprimer dans le corps après plusieurs mois ou plusieurs années, d’où l’émergence parfois de douleurs sans véritable fondement évocateur, ou plus grave encore, de maladies qui y trouvent ainsi leurs racines.
La totalité de l’information étant contenue dans la plus petite unité de vie qu’est la cellule, les mémoires corporelles chargées de conflits émotifs vont alors générer le désordre, le mal être et la maladie.
Au-delà d’une approche psychothérapeutique, qui n’est pas de mon ressort,  il existe différents moyens pour déceler, traiter et évacuer ces mémoires perturbatrices de l’équilibre global de l’être humain et de sa santé.

Afin de ne pas perdre le lecteur dans un semblant de facilité, je tiens à préciser que tout le travail de libération des mémoires que j’effectue ne peut être résumé ici. Ne sont exposées dans ces quelques lignes qu’une approche succincte.

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